le cahier bleu, ce qu’on en dit

De Charlotte Desmousseaux, libraire à La vie devant soi (Nantes)

6 avril 2020 :

Comme elle est douce cette langue qui parle du passage de l’enfance à l’adolescence, comme elle est douce cette mélodie de la mélancolie, de l’éloignement, comme elle raconte de façon tendre-amer les petites choses belles et tristes d’une enfance simple et solitaire, comme elle parle avec justesse, cette langue, de l’entrée en écriture, de l’école comme lieu de rencontre de soi en tant qu’être de lettres et de fictions .
Un texte beau et lancinant, comme une petite musique de fin d’été, d’éclosion du corps et des rêves.


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